Circonscription du Soissonnais

DSDEN de l’Aisne

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Ce qu’en dit le site Ricochet-Jeunes : Il ne faut pas marcher entre les lignes. On risquerait sinon de tomber. Un album aux allures géométriques signé Christine Beigel et Alain Korkos sur l’équilibre, sur le fait d’être soi, de garder ce qui est important, de quitter ce qui ne l’est pas. Tout commence ici par un jeu bien connu du monde de l’enfance : sauter sur la bordure du trottoir, suivre une ligne sans jamais la quitter, pour ne pas atterrir dans ce trou noir, où l’on pourrait bien croiser un monstre. Commence alors pour cette petite fille, à la silhouette teintée d’ombre, un parcours lumineux et poétique. On la suivra dans ses jeux, dans ses peurs. On croisera des angles raides comme des montagnes, des boucles et des ronds, des reflets au-dessus de l’eau. On suivra les lignes des cahiers, celles de la main ou les sillons de l’arbre… pour, au final, s’apercevoir qu’il n’y a rien dans les vides et qu’il est beaucoup plus important de revenir au jeu. Christine Beigel nous offre un texte poétique d’une belle intensité. Sur double page, Alain Korkos s’est amusé à mettre en scène des frontières imaginaires. Des traits de couleurs brisent des fonds noir et bleu foncé, les mots suivent les boucles et les droites. Entre couleurs et cubes, entre noir et carrés, nous avons ici à faire à un petit théâtre d’ombres où l’imagination et l’invention se répondent. Un bel album à découvrir et à partager. Pour découvrir le texte de l’album : L’album peut être exploité en arts visuels. Les illustrations qui font ouvertement référence à Paul Klee, sont l’occasion de découvrir son œuvre. Alain Korkos propose sur son site une intéressante analyse iconographique : [{{{{{Plumes & Pinceaux}}}}}->http://plumesetpinceaux.hautetfort.com/lignes-2/ ] Autre possibilité d’exploitation : la danse. Des lignes, il y en a dans la cour de l’école, dans la salle de motricité. Et on peut en créer de nouvelles, des droites, des courbes, qui se croisent ou pas… Le projet peut naturellement se mettre en place. On choisit une musique pour évoquer un environnement, un sentiment ; les enfants peuvent alors jouer comme la petite fille de l’album, suivre les lignes, se déplacer seuls ou à plusieurs, en exprimant leur joie, leur insouciance, leur peur… Pour nourrir un tel projet ou pour le prolonger : la compagnie « La Mécanique des fluides » a mis en scène l’album. Le site de Christine Beigel présente plusieurs extraits de ce spectacle de danse contemporaine : [{{{{{Elle cause, elle cause }} }}}->http://ellecause.hautetfort.com/theatre/] {La petite fille qui marchait sur les lignes}, Christine Beigel et Alain Korkos, éditions Motus (2004)

La petite fille qui marchait sur les lignes

Il faut marcher sur les lignes. Sinon, on risque de tomber et c’est la chute dans le gouffre noir, avec un monstre tapi au fond. Cet album signé Christine Beigel, illustré par Alain Korkos, évoque ce jeu auquel chaque enfant s’adonne un jour : suivre les lignes du trottoir et se raconter des histoires à se faire peur. Un album merveilleusement illustré, tout en référence à Paul Klee, qui invite à danser sur les lignes, celles qui existent et celles qu’on crée.

Ce qu’en dit le site Ricochet-Jeunes :

Il ne faut pas marcher entre les lignes. On risquerait sinon de tomber. Un album aux allures géométriques signé Christine Beigel et Alain Korkos sur l’équilibre, sur le fait d’être soi, de garder ce qui est important, de quitter ce qui ne l’est pas. Tout commence ici par un jeu bien connu du monde de l’enfance : sauter sur la bordure du trottoir, suivre une ligne sans jamais la quitter, pour ne pas atterrir dans ce trou noir, où l’on pourrait bien croiser un monstre. Commence alors pour cette petite fille, à la silhouette teintée d’ombre, un parcours lumineux et poétique. On la suivra dans ses jeux, dans ses peurs. On croisera des angles raides comme des montagnes, des boucles et des ronds, des reflets au-dessus de l’eau. On suivra les lignes des cahiers, celles de la main ou les sillons de l’arbre… pour, au final, s’apercevoir qu’il n’y a rien dans les vides et qu’il est beaucoup plus important de revenir au jeu. Christine Beigel nous offre un texte poétique d’une belle intensité. Sur double page, Alain Korkos s’est amusé à mettre en scène des frontières imaginaires. Des traits de couleurs brisent des fonds noir et bleu foncé, les mots suivent les boucles et les droites. Entre couleurs et cubes, entre noir et carrés, nous avons ici à faire à un petit théâtre d’ombres où l’imagination et l’invention se répondent. Un bel album à découvrir et à partager.

Pour découvrir le texte de l’album :

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L’album peut être exploité en arts visuels. Les illustrations qui font ouvertement référence à Paul Klee, sont l’occasion de découvrir son œuvre. Alain Korkos propose sur son site une intéressante analyse iconographique :

Plumes & Pinceaux

Autre possibilité d’exploitation : la danse. Des lignes, il y en a dans la cour de l’école, dans la salle de motricité. Et on peut en créer de nouvelles, des droites, des courbes, qui se croisent ou pas… Le projet peut naturellement se mettre en place. On choisit une musique pour évoquer un environnement, un sentiment ; les enfants peuvent alors jouer comme la petite fille de l’album, suivre les lignes, se déplacer seuls ou à plusieurs, en exprimant leur joie, leur insouciance, leur peur…

Pour nourrir un tel projet ou pour le prolonger : la compagnie « La Mécanique des fluides » a mis en scène l’album. Le site de Christine Beigel présente plusieurs extraits de ce spectacle de danse contemporaine :

Elle cause, elle cause

La petite fille qui marchait sur les lignes, Christine Beigel et Alain Korkos, éditions Motus (2004)

Mise à jour : 31 mars 2017